Artémis, le temple perdu

Une épopée archéologique

Documentaires

Un documentaire de 52 minutes coproduit par la RTS et ARTE, retraçant l’extraordinaire aventure d’archéologues suisses partis à la recherche de l’un des derniers temples grecs encore enfouis. Diffusé en Suisse, France, Allemagne, Grèce, Roumanie, Pologne et au Canada, il a captivé plus d’un million de spectateurs et a été récompensé dans plusieurs festivals internationaux.

Prise de vue aérienne, fouille du santuaire d'Artémis sur l'île d'Eubée. Noxediem, creative & production studio, Sébastien Reichenbach

Bande annonce du film

“Un film maîtrisé, où la persévérance de l’archéologue se voit finalement récompensée.”
AGON Festival, Athènes
Prix du Jury, meilleur film archéologique

“Le film mêle habilement l’enquête de longue haleine au portrait pudique de l'archéologue.”
RAN Festival, Narbonne
Prix des collégiens et Mention spéciale du Prix du Jury

“Plus qu’un documentaire archéologique, un film sur le parcours d’une vie.”
LICODIA Festival, Sicile
Mention spéciale du Prix du Jury

CHALLENGE

Comment condenser une quête scientifique de plus de 50 ans en un récit captivant de 52 minutes ? Convaincre des diffuseurs prestigieux comme la RTS et ARTE, tout en rendant cette aventure humaine accessible et immersive pour un large public ? Le tournage, étalé sur quatre semaines en Grèce, impliquait des conditions de terrain exigeantes, suivies de plus de 20 semaines de post-production, où se sont mêlés écriture, montage, habillage graphique et sound design pour donner vie à cette histoire hors normes.

Approche

Pour ce documentaire archéologique, avons raconté une aventure humaine, portée par la ténacité de Denis Knoepfler, archéologue suisse qui a consacré sa vie à la recherche de ce sanctuaire disparu. En parallèle, nous avons suivi une saison de fouilles sous le soleil grec, au plus près du terrain, des gestes et des découvertes – spectaculaires. Le film mêle enquête scientifique, observation directe et reconstitutions visuelles pour donner à voir ce que les ruines seules ne peuvent raconter. En toile de fond, se déploie l’histoire du sanctuaire d’Artémis, entre mythologie, pratiques rituelles et longue mémoire des siècles.